vendredi 2 janvier 2009

La Oz addict

J'imagine que c'est le nouvelle addiction mode, mais j'ai également (comme Debbie, comme Simone de Bougeoir, comme, comme...) commencé à regarder Oz avant hier.

Le casting de cette série est quand même merveilleux (parce que hein, des hommes pareils, ça court pas franchement les rues (sinon je le saurais, hé).
Je ne reproche aux scénaristes qu'une seule, petite, minuscule chose que je trouve atrocement cruelle :


C'est de toujours tuer mes préférés!


J'en ai marre, ça me stresse, j'en viens à ne plus vouloir m'attacher aux personnages pour ne pas qu'ils meurent (c'est vrai, c'est peut être moi qui leur portent la pouasse..?)
Mais alors, et je ne fais que retranscrire les sages propos d'une grande fan de Oz que je ne citerais pas (ça commence par un D)

" Est ce que cette réaction ne serait pas justement désirée par les scénaristes pour mettre le spectateur dans le même sentiment de crainte et d'insécurité affective que les personnages"


Et là, le choc a été de taille : JAMAIS, au grand jamais, je n'avais été manipulée aussi délicieusement.

Et pourtant je déteste ça normalement, être manipulée.

Mais alors quand ce sont eux qui le font :





Et bien, là, oh oui, là, j'accepte les yeux fermés!
(bien sûr, il est important de préciser que ce n'est pas forcement parce qu'ils sont divinement musclés et viriles et torses nus et sportifs et arggghhhh).

Ce qui est étrange, c'est que l'homme-qui-vit-à-la-maison ne soit pas du meme avis que moi...
alors ça, vraiment, ça m'échappe.

1 commentaire:

Anonyme a dit…

Ha ouais c'est vrai, c'est moi qui ai dit ça. Qu'est ce que je suis forte.